Editorial 14 (5 novembre 2021)
Sous forme de lettre adressée ce jour
aux membres du Cercle :
Une Assemblée Générale était programmée pour
le samedi 20 novembre et nous avions l’assurance de pouvoir disposer de la
salle Roland Wintzner du Théâtre municipal de Guebwiller. Mais vu
l’indisponibilité de plusieurs membres, dont des nouveaux que je comptais vous
présenter, et la situation sanitaire qui s’annonce de nouveau critique, au lieu
de se résorber, j’ai préféré, en accord avec les secrétaires, reporter
l’assemblée au printemps, en des temps que nous espérons meilleurs.
Cependant, une délégation du Cercle se
rendra, dans la matinée du 20 novembre, à 11h, au cimetière de Guebwiller
déposer une couronne et se recueillir devant la tombe du poète et de sa
famille. Quelques poèmes seront lus. Nous vous invitons à nous rejoindre.
Chose remarquable : notre
connaissance de l’œuvre et de la vie d’Emile Storck n’a pas cessé de progresser
ces trois dernières années, grâce aux recherches menées par M. Daniel Storck,
notre président d'honneur. Les archives ainsi constituées et classées comprennent
des fragments inédits, esquisses, notes sur l’histoire et la botanique, cahiers
de cours, lettres, annotations de livres. Nous pénétrons ainsi mieux dans
l’atelier de l’écrivain et du savant. La correspondance, surtout, en français
comme en allemand, présente un intérêt biographique et littéraire immédiat.
Nous lui faisons une place à part sur le site. Consultez : Œuvre
épistolaire.
Notre souci est maintenant que tous ces
documents soient déposés aux Archives d’Alsace, Site du Haut-Rhin à Colmar, où
ils seront conservés et accessibles.
Comme il a déjà été annoncé, le Cercle
sera présent les 27 et 28 novembre au 32e Festival du Livre à
Colmar, invité au stand des « Cahiers du Rhin » que dirige notre
secrétaire Claude Diringer. Nous vous y donnons rendez-vous ! Nous en
profiterons pour prendre contact avec les Sociétés d’histoire de Guebwiller et
de la vallée. Il s’agira d’élaborer ensemble le projet d’un Sentier des poètes,
qui commencerait dans le Parc du « Château de la Neuenbourg » (Pôle
Culturel et Touristique), et de soutenir dans l’esprit de Biling’oh ! une
éventuelle initiative en faveur de plaques de rue bilingues dans la ville de
Guebwiller notamment.
Affaires à suivre, pas à pas…
Editorial 13 (19 octobre 2021)
Quoi de neuf depuis le printemps ?
Peu de chose en vérité. Toutes les associations sont longtemps restées en
veilleuse. Une fenêtre tout de même s’était ouverte en mai. Festival Biling’oh ! sur les pavés de
Guebwiller. Une initiative de la Ville pour promouvoir la langue et la culture
régionales. Encourager le choix du bilinguisme, qui seul peut équilibrer l’âme
alsacienne. Wir sind alle Dichter /
Nous sommes tous poètes. Le Cercle a participé, à côté du TAG et de la Maison
alsacienne de la poésie. Cf. texte et photos sous 2021.
Nous voici déjà en octobre. Mini
Seel isch verhankt mit Trürigkeit, / wie d’Barge verkankt sin mit Rageschleier… Ou bien : Es
git so Tag wun wie n’e Wunder sin… Eimol
noch bringt der Herbscht sini Pracht.
Une année tire vers sa fin.
Préparons-nous au renouveau l’an prochain. Nous essayons d’organiser encore une
assemblée générale l’après-midi du samedi 20 novembre. Confirmation, selon les
disponibilités, et précisions très bientôt. Les 27 et 28 novembre, le Cercle
sera présent au 32e Festival du Livre à Colmar, invité au stand des
« Cahiers du Rhin » que dirige notre secrétaire Claude Diringer.
Nous lui devons aussi le transfert du Cercle culturel Nathan Katz au bénéfice
du Cercle Emile Storck. Un solde de 146, 28€ nous a été versé. Nous lui sommes
reconnaissants d’avoir eu l’idée de cette opération et de l’avoir réalisée.
Claude Diringer a été le secrétaire et le principal animateur du Cercle Nathan
Katz depuis sa fondation en 1987. Il a publié deux Cahiers Nathan Katz, 1987 et 1988, et un recueil de ses poèmes M’r red drvu (On en parle) en 1991, Cahiers du Rhin. A lire ici le poème 12 Janner 1981 (jour du décès de N. K.).
Nathan Katz et Emile Storck se
connaissaient et s’estimaient. Bien que très différents de caractère et dans
leur inspiration, ils étaient proches et se détachaient en tête dans l’histoire
de la poésie alsacienne contemporaine. Ils font la paire, comme par exemple Du
Bellay et Ronsard, Goethe et Schiller !
Dans les archives de la famille Storck, sept
lettres ont été retrouvées suite aux recherches de notre président, Daniel
Storck, qui nous a autorisés à les présenter. Elles sont d’un grand intérêt
littéraire et biographique. Voir dossier (les sept lettres et une notice
bibliographique) sous Nathan Katz.
Et à suivre…
Editorial
12 (24 mars 2021)
Floraison printanière. Nouveaux
documents, nouvelles productions.
- Nathan Katz. Vous traduisez
mentalement « Katz » par chat. La généalogie, science rigoureuse,
démontre autre chose, de plus profond. Regardez Nathan Katz 1ère page.
– Un texte de Joseph Storck sur la
poésie alsacienne, notes d’une conférence donnée en 1977. Il éclaire aussi les
rapports entre les deux frères. C’est pourquoi vous le trouverez sous Joseph et Emile (Eléments biographiques).
– Jean
Egen. Souvenirs de l’oncle Eugène, relatés par son petit-fils, Roland
Egensperger. Ambiance musicale de Pâques, milieu des années 1950 (encore). Evocations
d’une époque « disparue sans doute à jamais ».
- Daniel
Muringer. Maintenant, ça y est. S klàppt. Vous pouvez écouter et regarder,
car l’iconographie est fabuleuse, la vidéo : Les sources de la musique traditionnelle alsacienne. Un formidable
travail à faire connaître et à utiliser… pédagogiquement. Evocations d’une
création et pratique culturelle « disparue sans doute à jamais ».
- 2021.
Vient de paraître en ce mois de printemps, et ce n’est pas un hasard, un
nouveau recueil de poèmes de « notre » vice-présidente, Martine
Blanché, sous le double signe « d’ancrage et de voyages ». La saison infinie, éditions J. Do Bentzinger.
Cotisations
2021. Voyez comment procéder sous L’association – Statuts. Merci de nous manifester votre fidélité.
Elle est notre réconfort.
Editorial 11 (10 mars 2021)
Les
nouvelles en ce semestre, comme déjà l’an dernier, sont principalement
des… annulations ou reports. Ainsi venons-nous d’apprendre que la conférence
sur le thème « Emile Storck et Nathan Katz, deux poètes si proches et si
différents », qui était prévue pour ce 10 ou ce 17 avril, au PMC (Pôle
Média Colmar), est reportée au semestre 2022.
Reportées
aussi ou alors organisées sur un mode distanciel, en visio-conférence, les
manifestations Frieihjohr fir unsri
Sproch. Mais tout le monde parmi nous n’est pas branché. Dans ces
conditions imposées par le Covid, il paraît sage de reporter aussi notre AG. A
l’automne, si possible. Hoffe un Wàrte…
(Lire dans Par les fossés et les haies,
p. 56-57.)
En
attendant,
-
nous affichons des photos et des textes d’Albert Weber sur les journées
d’hommage à Nathan Katz janvier dernier (autour du 40e anniversaire
de sa mort), au cimetière de Mulhouse et à Waldighoffen son village natal.
-
on pourra écouter la conférence de Daniel Muringer sur les sources de la musique
traditionnelle alsacienne (Video-Konferanz iwer d’Qualla vu d’r elsassischa
Volksmüsik).
–
lire une étude, retrouvée dans les archives et saisie à l’ordinateur par
Liliane Haering, La poésie et la
mythologie germaniques de l’abbé Braun – et une recension du recueil Am And vum Liad / Au bout du compte /
Letzten Endes d’Edgar Zeidler qui rend hommage à Emile Storck, pour ses
sonnets, à Nathan Katz et à André Weckmann.
Merci à Albert Weber, Daniel Muringer et
Liliane Haering, pour leurs contributions. Et à Jean-Pierre Meistermann, membre
fondateur, qui a salué à la manière satirique Schnitzelbank la 2e année Covid. A lire sous 2021.
Hoffe un Wàrte / àn dane dumpfige
Märztag…/ wu der Wàldrànd / mit sine Katzle voll Hàselstauib / horcht uf s
Gepfiff vu de Veegel
Espoir et attente / en
ces mornes journées de mars / quand la forêt à sa lisière / avec ses chatons
pleins de pollen / guette le sifflement des oiseaux… (traduction Albert
Strickler)
Editorial 10 (22 décembre 2020)
Du nouveau. Avant la fermeture !
Vous découvrirez sous Audiothèque Emile
Storck l’enregistrement sonore de sept poèmes, extraits de Melodie uf der Panfleet ou de Sunne un Schatte. Pour commencer Wihnachte, lu par Simone Clavey et Mélaine
Birgaentzle. Les autres lectures et les enregistrements sont de Jean-Michel
Clavey, du Théâtre Alsacien de Guebwiller, dont il fut le président pendant 15
ans, et il est vice-président de notre Cercle. Il a fallu l’épreuve redoublée
du confinement et donc l’impossibilité de toute réunion publique pour qu’émerge
cette idée d’enregistrer et de donner à entendre des « morceaux
choisis » de l’œuvre poétique d’Emile Storck. Nous avons été inspirés par
l’association Prix Nathan Katz du Patrimoine, créée par l’écrivain et éditeur
Gérard Pfister (Arfuyen). Lien : www.prixnathankatz.com
Voir ses Archives littéraires et écouter
sa déjà riche Audiothèque (Lina Ritter, Nathan Katz, Ernst Stadler, René
Schickele, Jörg Wickram, etc.)
Autres liens avec des associations qui
nous sont proches : Voyage autour de
ma bibliothèque – www.bibliotrutt.eu et Théâme
– www.theame.eu
Vaste vue d’Eur-Ope, un site construit et animé par Martine Hiebel, professeur
de lettres classiques, membre du Cercle, auteur d’une tradu-fiction sur
Manegold de Lautenbach qui s’ajoute au patrimoine du Florival.
Quelques corrections ont été faites sur
le site. Signalons dans Jean Egen les souvenirs du Bangala de Roland Egensperger. Ajouts : dans Œuvre Pédagogique, « Apprendre à
lire l’alsacien » et sous Transmission, présentation de l’ouvrage Rupture et transmission, Transverse,
parution indiquée sous 2020.
Sur ce, rendez-vous (en chair et en
os !) l’an prochain. Maintenons l’espérance, comme faisait notre poète,
comme font à vrai dire tous les poètes. Vienne le printemps. L’espérance
tremble dans le jeune feuillage. Ouvre tout grand ton cœur et crois !
Hoffnung zittert im junge Lauib
Mach nur di Harz ganz wit uf un glauib !
Editorial
9 (15 décembre 2020)
Pendant les périodes de confinement, les
travaux continuent…
Même si c’est au ralenti et, il faut
bien le dire, avec des retards et des renoncements.
Le grand projet d’une biographie croisée
des deux frères, Joseph et Emile Storck, s’est étoffé grâce au travail du Dr
Daniel Storck qui a rassemblé et classé tous les documents qu’il a pu trouver
concernant son père et son oncle. Notamment, un inventaire de leur bibliothèque
a pu être reconstitué. En particulier, même s’il est incomplet, celui des
ouvrages d’entomologie, qui nous renvoie à la passion des papillons dont
l’inspiration poétique a profité.
2020.
Bilan. Nous relevons trois « manifestations » : le 12 septembre,
conférence de Martine Blanché à Colmar ; le lendemain, un stand
« Cercle Emile Storck » au forum des associations à Guebwiller ;
le 1er octobre, à Masevaux, conférence de Michel Krempper sur la
Guerre des Paysans et Mathis Nithart.
Présentation de quatre publications dues
à des membres de notre Cercle : L’œuvre
dramatique d’Emile Storck, par Martine Blanché ; Mathis Nithart et la guerre des Paysans, 1525, par Michel
Krempper ; Am And vom Liad, par
Edgar Zeidler ; Rupture et
transmission, sous la direction de Dominique Rosenblatt et Gérard
Schaffhauser.
(Pour les commandes, écrire au Cercle. Voir
sous Contact. Mais vous pouvez aussi
trouver ou commander ces ouvrages à la Maison de la Presse – Librairie Richard
à Guebwiller.)
Hommage. Notice sur deux « anciens »
de nos membres qui sont décédés cette année. Frick Paul, dit Popaul (né en
1928), et Jean Bader (né en 1931).
Œuvre
poétique. 15 avril 1978 : Paul Frick et Roland Wintzner
lisaient Emile Storck.
Œuvre
pédagogique. Elle est importante ! Découvrir
les réflexions d’Emile Storck sur l’alsacien, son écriture, et l’allemand. Et
« la leçon d’alsacien », donnée par Lucien Herr à R. M. Rilke. Voir
aussi un historique de l’Ecole Normale de jeunes filles de Guebwiller et
l’utopie d’une Ecole Normale Rhénane.
Entomologie.
Précisions sur la participation d’Emile Storck à la Société entomologique de
Mulhouse. Extraits de sa bibliothèque de naturaliste. Et deux poèmes de
« respect de la vie », l’un de Daniel Muringer.
Nathan
Katz.
Grâce à Daniel Muringer, nous pouvons présenter et vous « offrir »
une version électronique du conte féérique D’Ardwibele,
Ein Spiel im Sundgau in 8 Bildern, publié par Nathan Katz en 1930 chez
Alsatia et devenu introuvable. Victor Hell (dans Nathan Katz, Itinéraire spirituel d’un poète alsacien) en disait
que « c’est un spectacle féerique qui révèle à la fois le sens du réel et
le pouvoir imaginatif du poète ». Lire notre article sur Victor Hell
(1920-1994), « L’école et la maison ».
2021.
Que nous réserve la nouvelle année ? Nous voulons lancer le projet d’un
sentier des écrivains du Florival et en même temps, et pour commencer, éditer
une sorte d’anthologie portative de ces écrivains. Ouvrez l’esquisse que nous
publions, à enrichir, à compléter par… vous.
En attendant et en ouverture de l’an
2021, méditez le poème Nèijohr et sa
traduction (inédite). Un poème plutôt sombre, comme ailleurs Dunkli Wihnachte, qui paraît tellement
aller dans l’air de notre temps, hélas. Mais espoir tout de même, espoir
toujours. Meilleurs vœux, bonnes pensées. Paix dans nos cœurs et sur la terre.
e
Handvoll Fraid, e Armvoll Leid
un Hoffnung bringt uns ‘s nèie Johr
Editorial 8 (31 août 2020)
Sur le seuil de septembre. La
rentrée ? Dans quelles conditions ? Sans être tragique (pas de guerre
proche), y eut-il jamais, ces dernières décennies, période plus incertaine et
par là plus anxiogène ? Ne
pas s’attrister… Mais Wunsch
(Souhait)
Ich mechtig
wie da Herbschttàg si
wun eim àm
scheenschte dunkt :
gànz
dunkelblaui àm Himmel hi
un gànz in
Liecht gedunkt.
(Melodie uf der Panfleet p. 81)
Extrait de Par les fossés et les haies, p. 148. Révision de cet ouvrage, qui
parut en 2013, aux Editions Arfuyen, et bénéficia pour la traduction du Prix
Nathan Katz du Patrimoine. Au fur et à mesure des relectures, nous avons repéré
les uns et les autres quelques erreurs, pas seulement de malheureuses
coquilles, mais aussi deux gros contresens. Voir ici sous Œuvres poétiques le fichier de corrections, que l’on pourra
consulter, que nous avons envoyé à l’éditeur, Gérard Pfister, qui a procédé aux
rectifications. Les prochains exemplaires que l’on commandera seront donc d’une
édition révisée.
Nous attirons encore une fois l’attention
sur l’ouvrage de Martine Blanché, L’œuvre
dramatique d’Emile Storck, Jérôme Do Bentzinger Editeur, 2019. L’auteure
donnera le samedi 12 septembre la conférence, prévue pour le 10 mars et
reportée pour cause de Covid. Flyer sous 2020.
Il se trouve que le lendemain, dimanche
13 septembre, aura lieu à Guebwiller, au Centre sportif du Florival, de 10h à
18h, le Forum des associations. Le
Cercle Emile Storck aura un stand. Nous serons heureux de vous y rencontrer.
Dimanche le 23 août, ce fut la
commémoration à Lautenbach du centenaire de Jean Egen. Voir dans rubrique Jean Egen 1) le discours prononcé par
Mme Evelyne Tibloux Egensperger, 2) l’article paru le 21 août dans l’Ami-Hebdo – www.ami-hebdo.com, et 3) un
autre texte, Jean Egen et Changala, à paraître dans D’Heimet – http://heimetsproch.fr.
Au jardin de l’abbaye de
Murbach, Claude Diringer a photographié des poèmes de Marguerite Gable calligraphiés par
Angèle Holterbach. Cela nous fait penser au projet d’un sentier des écrivains
du Florival à partir du Parc de la Neuenbourg. Nous en parlerons bientôt, la
prochaine fois…
Editorial 7 (20 juillet 2020)
Pour cause de coronavirus : bouleversement
des programmes. Il n’y aura pas eu de Frieihjohr
fir unsri Sproch. La découverte du sentier des poètes sur les pentes du
vignoble de Soultzmatt, prévue le 4 avril, a été annulée. Mais nous conservons l’affiche
(2020) en souvenir. Rendez-vous en 2021.
Pour Pâques, le 12 avril, nous avons
cherché un exercice d’espérance (et de consolation) dans un poème d’Emile
Storck, Oschtre. Nous l’avons partagé
avec des membres et des amis du Cercle. En ces temps troublés, qui distillaient
une angoisse quotidienne, les paroles et les images de ce poème touchaient
juste. Nombreux remerciements tout spontanés. Plus d’une vingtaine, dont nous
publions l’essentiel. Voir sous 2020
le fichier « La grande leçon de Pâques ».
Le mardi 10 mars, juste une semaine
avant la décision d’un confinement général qu’on n’imaginait pas (encore), Martine
Blanché devait donner une conférence à Colmar, invitée par les Amis de la
Bibliothèque. Elle a été reportée par mesure de précaution au samedi 12
septembre, 16h30, toujours à l’auditorium du PMC (Pôle Média Culture) Edmond
Gerrer, place du 2 février. Retenez cette nouvelle date. La conférence
s’intitule L’œuvre
d’Emile Storck, le courage d’un parcours initiateur de poésie. Un rappel, sauf nouveau confinement, vous sera
adressé fin août.
L’auteure compte aussi présenter
des extraits de sa propre production poétique, l’édition de sa thèse de
doctorat, L’œuvre dramatique d’Emile
Storck, et sa traduction, avec François Blanché, de la pièce Mathis Nithart, e Kinschtler im Bürekrieg,
publiée en bilingue dans l’ouvrage de Michel Krempper, Mathis Nithart et la guerre des Paysans. Voir sous Théâtre. Présentation du livre dans
fichier : M. Krempper, La guerre des Paysans (recension).
Comment avons-nous vécu
l’épreuve du confinement, qui a duré du 17 mars au 11 mai ? Dans certains
villages, les cloches ont résonné tous les soirs à 18 heures. Occasion de
réfléchir sur un trait de notre civilisation. Sous 2020, fichier : Cloches par temps de confinement.
Le jeudi 8 juillet, le Cercle Emile
Storck, représenté par son président et ses deux secrétaires, Daniel Haering et
Claude Diringer, a remis à Romain Siry, président de la Société d’histoire de
Rouffach, les archives du Stammtisch de Rouffach qui furent rassemblées et
classées par Geneviève Guyon. Daniel Haering a scanné les documents qui
intéressent notre Cercle. (Nous en ferons état bientôt et retracerons une
histoire de ce Stammtisch.)
Quelle réponse à la crise Covid ?
S’efforcer plus que jamais à « la joie de vivre » ! Ein Kampf um die Lebensfreude. C’est le
sous-titre du premier livre de Nathan Katz, Das
Galgenstüblein, qui a paru à Mulhouse en 1920, dans une édition de la
Littérature populaire. Vient de paraître chez Arfuyen une édition bilingue, La petite Chambre qui donnait sur la potence.
Traduction par Jean-Louis Spieser. De juin 1915 à septembre 1916, le soldat
Nathan Katz a été emprisonné dans un camp en Russie. De sa captivité – de son
confinement - il a fait un « combat pour la joie de vivre ». Lire ici
sous Nathan Katz une présentation-préface
de Jean-Paul Sorg. (Grâce aux recherches du Dr Daniel Storck, nous avons
découvert une riche correspondance entre Nathan Katz et Emile Storck. Nous en
publierons des extraits.)
Chose étonnante, qui donne à
penser : ce mot Lebensfreude se
trouve aussi chez Emile Storck, c’est le titre qu’il a donné à son 2e
ouvrage de pédagogie, un cours pratique d’allemand à l’usage des débutants dans
l’enseignement primaire et secondaire (1962). Les poètes ne cherchent-ils tous
à conquérir la joie de vivre dans les situations les plus sombres ?
N’est-ce pas le sens même, quasi religieux, de leur combat poétique – et ce
qu’ils veulent transmettre ? On trouve généralement que la poésie d’Emile
Storck est d’une tonalité plutôt sombre le plus souvent… Plus de Schatte que de Sunne dans ses Lieder !
(Comme chez Baudelaire plus de spleen que d’idéal.) Mais nombreuses ses élèves
de l’Ecole Normale de Guebwiller qui ont témoigné de sa joie d’enseigner – et
de leur joie d’apprendre avec lui ! La joie d’apprendre est une composante
essentielle de la joie de vivre. « Apprendre est l’essence de la vie
« (Krishnamurti). Relire ici sous Le
pédagogue l’analyse de Lebensfreude
par le dialectologue Dominique Huck et lire la préface que nous avons
reproduite, ainsi que les 1ère et 4e de couverture.
On lira aussi sous Francis Krembel « Ma première lecture publique à
Mulhouse ». Sous 2020 un poème
de saison, « Juillet dans le vignoble » (traduction d’Albert
Strickler).
Retenez encore ceci : Dimanche 13 septembre le Cercle Emile
Storck tiendra un Stand au Forum des
Associations, de 10h à 18h. Présentation et vente d’ouvrages récents. Des
précisions seront données par courrier en temps utile.
Editorial
6 (2 mars 2020)
Nous
allons vers le printemps (qui fut la saison préférée d’Emile Storck ?) et
nous commençons tard une nouvelle année que nous souhaitons favorable à
tous ! Elle s’annonce prometteuse. Mais faisons d’abord un récapitulatif
de l’année écoulée, à travers le compte rendu circonstancié de notre Assemblée
Générale du 30 novembre dernier et l’évocation de notre « hommage au
chantre du Florival » (pour reprendre un titre du journal régional) à
l’occasion du 120e anniversaire de sa naissance (le 22 novembre 1899).
A lire ici sous 2019.
A
la fin de l’an dernier encore, la RAL (Revue Alsacienne de Littérature) a
publié dans son n° 132, dossier Patrimoine, sous la plume de Martine Blanché, une
présentation éclairante de « la production littéraire de Storck dans son
contexte culturel ». Avec un choix de cinq de ses poèmes (mais sans
traduction).
Et
encore pile à la date du 30 novembre, L’Ami
Hebdo (qu’Emile Storck connaissait sous le nom de Der Volksfreund ou L’Ami
du peuple) publia sur deux pages un article de J.-P. S. « Au sommet de la littérature
dialectale, l’œuvre d’Emile Storck », avec trois volets (lyrique,
pédagogique et dramatique). A lire ici sous « Art Poétique ».
Lire
aussi sous « Marguerite Gable » le poème d’Albert Strickler, Marguerite.
Les
deux livres, enfin, que nous avions annoncés dans notre dernier éditorial,
celui de Martine Blanché, L’œuvre
dramatique d’Emile Storck, aux éditions J. Do Bentzinger, Colmar (voir
couverture sous Bio et Bibliographie), et celui de Michel Krempper, Mathis Nithart et la guerre de Paysans, 1525,
chez Mulhousienne d’Edition, qui contient, rappelons-le, l’intégrale de la
pièce d’E. S. en alsacien et sa traduction en français, vont donner lieu cette
année à des recensions, des lectures et des conférences. Nous vous en
informerons par courriel au fur et à mesure.
Sous
Théâtre on pourra voir ici la
couverture de l’ouvrage de Michel Krempper, 280 pages, nombreux documents
iconographiques et appareil critique, 20 € l’exemplaire, à commander en librairie,
ou au Cercle au prix de 16 € + 6 € frais d’expédition. Sur la pièce, lire aussi
quelques jugements de l’historien bien connu Paul Stintzi, agrégé de
l’université, et de l’écrivain Friedrich Franz von Unruh dans leur
correspondance avec l’auteur.
Comme
la traduction est un travail essentiel pour faire vivre la culture (la
littérature) alsacienne, on lira avec intérêt le texte d’une conférence d’Edgar
Zeidler, Penser la traduction. Ce
sont des réflexions sur sa traduction en alsacien du chant des louanges (Gitanjali) de Rabindranath Tagore. Car
„Doch
wenn uns ebber kummt un bi uns klagt / dass d’Sproch vu unsere Vater nit kat
meege / das sage wun in andre Sproche klingt,/ no schittle mir der Kopf, un
unser Mül / verziegt sich nur e bitzi iwrem Stüne. : Wie soll denn d’Sunne
schine in de Blinde?“ (Melodie
uf der Panfleet)
Editorial
5 (15 novembre 2019)
Nous
voici à quinze jours de notre Assemblée Générale, le 30 novembre. Nous en
avions déjà indiqué la date et le lieu. Ce sera dans la Salle Roland Wintzner,
au Théâtre Alsacien de Guebwiller. L’Ordre du jour a été communiqué en ce jour
à nos membres.
Nous
commencerons la journée le matin, à 11h, au cimetière de Guebwiller, où pour le
120e anniversaire de la naissance d’Emile Storck nous nous
recueillerons devant sa tombe. Voir l’invitation précise sous 2019.
De même,
en vue de l’AG, on y trouvera là un synopsis du rapport moral du président.
Le
rapport de la précédente AG (17 novembre 2018) est à lire sous 2018.
Etes-vous à jour de votre
cotisation ?
Voir bulletin, avec les modalités de paiement,
ci-dessous, tout en bas ! Sous l’éditorial 1. Règlement possible sur
papier libre. Un rappel avec le bulletin et des informations sur notre présence
au salon du Livre de Colmar les 23 et 24 novembre vous seront adressés la
semaine prochaine.
Notez
bien ici. Sous Bio-Bibliographie, la couverture de l’ouvrage de M. Blanché, L’œuvre dramatique d’Emile Storck. Sous
Théâtre, découvrir maintenant en version Orthal, en plus de E Summertrauim, Mathis Nithart. Un travail réalisé par Daniel Muringer, qui a aussi
rédigé une éclairante notice sur la graphie utilisée. Cela doit faciliter la
lecture dans toute l’Alsace ! Autres nouveautés à découvrir sous les
différentes rubriques : - Francis Krembel et Marguerite Gable, revues de presse
des hommages - Georges et Michel Zink., recension du colloque D’autres langues que la mienne - Nathan
Katz, reprise d’une étude sur l’âme dans sa poésie, parue dans le n° 2 des Cahiers Nathan Katz, 1988.
Annoncé,
l’ouvrage de Michel Krempper, Mathis
Nithart et la guerre des Paysans 1525, avec une édition bilingue de la
pièce Mathis Nithart (E Kinschtler im
Bürekrieg), traduction en français de Martine et François Blanché, est sous
presse et pourra paraître au début de l’année prochaine.
Editorial
4 (19 août 2019)
1) Nous sommes à 10 jours des Journées Jean Egen organisées comme tous les deux ans par la
commune de Lautenbach. Vous trouverez le programme affiché sous la rubrique
Jean Egen.
Thème : l’enfance (« la condition
enfantine ») autrefois et maintenant. Vous êtes tous cordialement invités
à assister aux diverses manifestations et à participer au traditionnel banquet
(pique-nique) qui aura lieu cette fois-ci le dimanche (1er
septembre) à midi. « Traditionnel », car, comme le chante Roland
Egensperger, un petit-cousin de Jean :
A
jamais nous serons les filleuls
d’un
banquet sous les tilleuls.
Sous la nouvelle rubrique Jean Egen, vous pourrez lire
de nombreux textes, celui consacré au thème de cette année et d’autres en
rétrospective : 2017, 2015, 2013.
2) La rubrique Théâtre.
Vous y découvrirez, saisi en version dialectale
Orthal par Daniel Muringer, le texte de deux pièces de théâtre, E Summertrauim et Mathis Nithart. Pourquoi en Orthal (nouvelle graphie
unifiée) ? Lire la notice explicative de Daniel Muringer. Voici des pièces
prêtes pour être relues et jouées !
3) Le projet annoncé (dans l’éditorial du 1er
juillet, voir ci-dessous) d’un ouvrage de l’historien Michel Krempper sur la
Guerre des Paysans dans le Sundgau en 1525 prend forme et sa rédaction est en
passe d’être terminée. L’ouvrage contiendra en partie II le texte de la pièce
d’Emile Storck et en regard, page de droite, la traduction en français assurée
par Martine et François Blanché. Ce sera pour notre Cercle un événement !
Parution espérée (mais non garantie) mi-novembre.
Nous y reviendrons très prochainement pour vous donner des informations sur
l’édition.
Depuis le 1er juillet le nombre de
visiteurs de notre site est passé de 8108 à 8285.
Editorial 3 (1er juillet 2019)
Du
nouveau, des perspectives pour l’automne.
Mais
d’abord signalons les quelques manifestations (rencontres, lectures) auxquelles
le Cercle a assisté ou participé au cours du printemps.
1.
En dehors du Florival : conférence du Pr Michel Zink (fils de Georges
Zink) le 6 avril à Altkirch. Sous Georges
Zink et Michel Zink, lire un compte rendu et une recension de L’humiliation, le Moyen âge et nous…
Deux articles qui ont paru dans le journal L’Ami
Hebdo les 28 avril et 5 mai.
2. Participation à la promenade sur le Dichterweg de Soultzmatt le 23 mars. Un
temps splendide. Herrliches Wetter ! Cf. sous 2019 une coupure de presse.
3.
Soirée à la Bibliothèque de Lautenbach-Schweighouse le 29 mars, dans le cadre
de E Frieihjohr fir unsri Sproch.
Voir sous 2019 l’affiche et une brève évocation.
Enrichissement
de nos autres rubriques. Ouvrez
Der Pfingstmontag et l’AG du 16
mai. Un texte sur Der
Pfingstmontag (1816), la pièce de Georges Daniel Arnold, considérée comme
le chef d’œuvre fondateur de la littérature alsacienne dialectale.
Francis Krembel :
Un fabricant de rêves, par Bernard Jurth (DNA, 24 mars)
Edgar Zeidler :
Un portrait dans les DNA (en allemand). Einsatz für die elsässische Mundart (Engagements pour le dialecte
alsacien). Et Synopsis de Rabindranath
Tagore, Lobliader (Chants de louanges). Traduction en langue alémanique et
une nouvelle traduction française.
Mulhouse, l’âme et l’esprit
: Couverture du nouveau livre de Michel Krempper, Histoire de Mulhouse. Le
point de vue mulhousien. Et un article de Jean-Paul Sorg, « Le cas de
Mulhouse », qui porte sur une première version de l’ouvrage La république de Mulhouse 803 – 1525 – 1798.
Perspectives
Francis
Gueth, originaire de Guebwiller, ancien conservateur de la Bibliothèque de
Colmar, imagine déjà le futur Sentier des
Poètes du Florival. Ils sont légion ! Il en a trouvé des nouveaux,
devenus des inconnus : Camille Schneider, Florival Geh mit ins Blumental, Sonnets bilingues / Sonette in zwei
Sprachen. Georg Gayelin, Musestunden im Blumenthale, Verlag von
Julius Bolse, Gebweiler und Leipzig, 1882. (Gayelin né en 1812 à
Mulhouse – profession: commerçant, puis comptable, pendant 32 ans à Lautenbach,
où il s’est marié en 1853. Décédé à Rixheim en 1899.)
Traduction
en français du drame en 4 actes Mathis
Nithart (E Kinschtler im Bürekrieg), par Martine et François Blanché, avec
l’autorisation de M. Daniel Storck. Cette version paraîtra dans un nouvel
ouvrage de l’historien Michel Krempper, Mathias
Nithart et la révolution du Bundschuh (1525). M. K. a dépouillé tous les
documents d’archives, qu’Emile Storck avait signalés dans son introduction et
dont il s’était inspiré. (Ce qu’avait déjà fait Martine Blanché dans sa thèse
de doctorat, L’œuvre dramatique d’Emile
Storck, 1997). De plus, l’historien s’est appuyé sur des éléments relatifs
notamment à un certain Mathias Nithart d’Eschentzwiller, qui serait selon
l’arbre généalogique qu’il a dressé un de ses ancêtres ! Enigme : comment
ce paysan médiéval d’Eschentzwiller, localité sundgauvienne de Haute-Alsace -
dont il aurait été le prévôt au moment de la guerre des Paysans d’Alsace de
1525 et dont la réalité historique est avérée par au moins un document conservé
aux archives de la ville de Bâle – a-t-il pu être confondu avec Maître Mathis
surnommé Grünewald - à partir de 1675 -,
peintre du retable d'Issenheim ? Emile Storck s’est donné les libertés du
poète. « L’imagination poétique peut suppléer à l’histoire là où celle-ci
se tait. »
Georges
Bischoff, historien médiéviste né à Guebwiller, professeur émérite de
l’université Marc Bloch de Strasbourg, a publié en 2010, aux éditions La Nuée
Bleue un ouvrage magistral sur cette période : La guerre des Paysans, l’Alsace et la révolution du Bundschuh 1493 – 1525.
L’ouvrage
de Michel Krempper, avec l’analyse de la pièce d’Emile Storck et une version
française de celle-ci, aura l’originalité d’associer histoire et littérature.
Notre Cercle se réjouit de cette entreprise, qui devrait gagner à
« notre » poète de nouveaux lecteurs et renouveler l’intérêt pour son
œuvre.
Pendant
le 1er semestre de l’an 2019 notre site a été visité près de 500
fois. Le nombre de visiteurs passant de 7655 le 1er janvier à 8108
au jour d’aujourd’hui, 1er juillet. C’est modeste et tout de même
encourageant.
Prochain
rendez-vous à la mi-août, avec le programme des Journées Jean Egen (30 août au
1er septembre) et de nouvelles contributions.
Un
peu de nostalgie:
Owe
im Juni
Wie still un riehwig isch doch d’Walt !
(Lieder vu Sunne un Schatte, 1962)
Es war einmal?
Tout
de même (trotzdam), profitons du temps des vacances et continuons le travail…
Jean-Paul Sorg
Editorial
2 (14 mars 2019)
Nous
attirons encore une fois votre attention sur la sortie du samedi 23 mars 2019 à
Soultzmatt. Sentier des poètes.
Départ à 14h 30 au pied du vignoble, place de la mairie.
Ouvrez
le programme ci-joint et sous 2019.
Et
retenez déjà la date du 6 avril. Rendez-vous à Altkirch, Halle des Blés, 16h
30.
Honneur au professeur Michel Zink, médiéviste,
écrivain, membre de l’Académie française, et hommage à Georges Zink
(1909-2003), né à Hagenbach, germaniste et poète dialectal.
Programme
ci-joint et sous 2019.
Nouveautés
et compléments.
Sous
Vigée et à propos de la balade à vélo, voir les explications sur un contresens
dans la traduction de Blost in da klare…
Sous
Nathan Katz, photo de la tombe et recueillement.
Sous
Art poétique, 8 sonnets en alsacien d’Edgar Zeidler dédiés à Emile Storck,
orfèvre en la manière…
Jean-Paul Sorg
PS: n’oubliez pas, voyez plus bas, votre cotisation 2019.
Editorial 1 (mars 2019)
Comme
nous en avions parlé lors de notre dernière Assemblée Générale, le 17 novembre
2018, nous enrichissons notre site et l’élargissons à d’autres auteurs,
d’autres poètes de l’Alsace, du sud et du nord, puisque des relations d’amitié
et des circonstances nous amènent à nous référer à la revue Peut-être, de
l’Association des Amis de l’œuvre de Claude Vigée.
Nous
évoquons la figure et l’œuvre de Francis Krembel (1946-2019). « L’Alsace
perd un poète. » Il était membre de notre association.
Etude
nouvelle de Martine Blanché sur l’art poétique d’Emile Storck. Aussi sur
Georges Zink (1909-2003). A qui un hommage littéraire sera rendu à Altkirch le
samedi 6 avril, en présence de son fils, Michel Zink, membre de l’Académie
française. Retenez la date de cet événement. Des précisions suivront bientôt.
Nous
avons quelque peu remanié l’architecture du site, pour y intégrer et rendre
plus visibles les nouvelles données. Place à Nathan Katz, à Anne-Franck-Neumann
et à Tony Troxler.
Le
chantier n’est pas terminé. Apportez vos pierres et construisez avec nous.
Pour
le moment nous renonçons à publier un nouveau Bulletin, nous adoptons les
nouvelles techniques de l’informatique, nous nous adaptons, nous essayons…
Jean-Paul Sorg
Liens
Voyez sur Google Bibliotrutt. Vous y découvrirez le site très
intéressant de Jean-Claude Trutt (né en 1935), « Voyage autour de ma
bibliothèque ». Et dans cette bibliothèque, ouvrez le tome 7, Littérature
Alsacienne, vous y verrez « Redécouverte d’Emile Storck ». C’est
passionnant.
Annonces
Sous Zeidler Edgar, voir le
programme du printemps. Lectures, éditions, distinctions.