Par les fossés et les
haies, édition 2013, 16 erreurs (coquilles et contresens) corrigées. Cf.
fichier pdf ci-dessous:
Traductions
11 poèmes de Baudelaire et de 10 de
Verlaine
dans Baudelaire
et Verlaine en alsacien
Et deux traductions inédites
Baudelaire : Le guignon / Pech /
Pach
Verlaine : En sourdine / Im
Halbdunkel
Nous les avons relevées, écrites au
crayon, sans ratures ou presque, de la main d’Emile Storck, dans deux livres
qui faisaient partie de sa bibliothèque. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, classique Garnier,
Paris, 1927. Paul Verlaine, Choix de
poésies, Bibliothèque-Charpentier, Paris, 1927.
Ces deux traductions que l’on peut
découvrir ici, avec des commentaires critiques, complètent l’ouvrage que nous
avons publié en 1999, 172 pages, dans l’éphémère collection Humanités d’Alsace,
chez bf, une édition épuisée, dont il ne reste aucune trace. C’était encore au
siècle dernier, année du centenaire d’Emile Storck. L’électronique n’était pas
encore banalisée. Le tapuscrit a été égaré. Il n’y a rien à faire. C’était il y
a même pas un quart de siècle. Depuis, les choses, les techniques, notamment
dans l’imprimerie, ont évolué très vite. Nous vivons dans un autre monde. Comment
conserver l’héritage de l’ancien ? L’humanisme, dont la tâche historique
essentielle est de conserver et de transmettre les « humanités », est
en péril.